J’ai cru que


J’ai cru que 

Dans un décor outre monde, qui parodie la vie
Je cherche à revoir, le moment ou tout à commencé
Mais les traces de ma survie aux allures de brume infinie
Ne se distinguent plus que dans ce rêve déjà  passé
Pourchassant la raison des sursauts aux airs de défis
Sur couleurs imprimées,  d’un ton unique et fané

Il court le temps de la remise en question, sur bien des thèmes
Que tant d’âmes remettent  inévitablement, au lendemain
Pour ne pas se confondre, à la logique empirique  du blasphème
Des  réponses toutes faites, sur le quand devenir de nos chagrins
Ayant appris de nos erreurs, vouloir conseiller reste un stratagème
Pour se satisfaire de nos écarts enfouis, devenus des songes aériens

Sur cette période de réflexion, ma calligraphie vibrante est parfois floue
Compréhension et suggestion sont parées  d’orgueil et de mépris
Ou parfois vision et passion  comblent et sculptent le manque en nous
Tout en masquant notre désir secret de croire en un dernier repli
Mais la reproduction sur papier glacé, au reflet  d’une image de vous
Peut créer en ensemble de raisons sans transcrire en gris  l’indéfini

La plume glisse sur un plan blanc et granuleux  en portefeuille
Ou finissent les mots dont je ne saurais jamais prononcer à autres
Car parfois le silence exprime tellement ce mystère en un seul seuil
Sans aucunes évolutions nécessaires à la poursuite  à  ce qui est notre
Regarde autour de toi et vois la ligne dont ta vue trace en  recueil
La limite n’est pas l’importance des choses,  ma mission restera votre

Dans un décor outre monde, qui parodie la vie
Je cherche à revoir, le moment ou tout à commencé
Mais les traces de ma survie aux allures de brume infinie
Ne se distinguent plus que dans ce rêve déjà  passé
Pourchassant la raison des sursauts aux airs de défis
Sur couleurs imprimées,  d’un ton unique et fané

Il court le temps de la remise en question, sur bien des thèmes
Que tant d’âmes remettent  inévitablement, au lendemain
Pour ne pas se confondre, à la logique empirique  du blasphème
Des  réponses toutes faites, sur le quand devenir de nos chagrins
Ayant appris de nos erreurs, vouloir conseiller reste un stratagème
Pour se satisfaire de nos écarts enfouis, devenus des songes aériens

Sur cette période de réflexion, ma calligraphie vibrante est parfois floue
Compréhension et suggestion sont parées  d’orgueil et de mépris
Ou parfois vision et passion  comblent et sculptent le manque en nous
Tout en masquant notre désir secret de croire en un dernier repli
Mais la reproduction sur papier glacé, au reflet  d’une image de vous
Peut créer en ensemble de raisons sans transcrire en gris  l’indéfini

La plume glisse sur un plan blanc et granuleux  en portefeuille
Ou finissent les mots dont je ne saurais jamais prononcer à autres
Car parfois le silence exprime tellement ce mystère en un seul seuil
Sans aucunes évolutions nécessaires à la poursuite  à  ce qui est notre
Regarde autour de toi et vois la ligne dont ta vue trace en  recueil
La limite n’est pas l’importance des choses,  ma mission restera votre

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