La Belle aux parures noires et blanches
Sur les lignes échelonnées et rationnelles, supportant pour un temps
l’addition
Un
soupire en silence demi temps tu es là, une note en Crystal de symphonie
Les
accords se regroupent fait de noires et de
blanches en deux dimensions
Sur l’Ouverture d’une clef vue de dos,
vous eûtes surement choisis « si » à «mi »
Sans trahir sans fausses notes, une mélodie en version « quartes saisons »
Mais le contre temps bat la mesure de ta durée sonore, en
métronome fluide
D’un mouvement hésitant
et répétitif, pour toujours en revenir a son départ
Sans jamais pour autan toucher le sol, et poursuivre sur un récit au son
limpide
En divers étages étant
posées façon volatile et immobile sans aucuns écarts
Pour donner vie à cette création à la façon d’une incantation usuelle de druide
Ressentir ton vibratoire envoutant et enivrant, qui souvent accroche
ma sensation
Au diapason de la raison musicale tu orchestres le tempo du refrain
de la belle vie
Sur le jet d’un contrepoint en superposition de mon vouloir,
crée une partition
Tu ne peux mettre de bémol à cette cadence qui sculpte par le
son une harmonie
Ne pouvant le définir je reste en sourdine loin de l’unisson,
mais toujours en fusion
Transcrire en un ballet aux timbres des
cloches, nichées en haut de mon petit clocher
Ou le désir résonne en tonalité d’un
grelot battant la mesure, au vu d’un svelte solfège
Mais peu importe, la durée du mouvement
cadencé par le hasard des pauses imitées
Ces enfilades de notes arrêtées par un temps,
défini par l’auteur sans aucun privilège
la romance finalisée et sonore émergée de sa sensibilité, à l’écoute de
ce « Menuet »
Maintenant à force de
porter mon projet, ma vision aux allures d’une sonate estivale
J’effleure d’une manière débutante ma guitare, pour donner
vie a cette composition
Ou les nuits et les jours
se sont cumulés depuis des mois, pour entendre la cymbale
De la rime soutenue au
niveau ultime d’une tonalité, dépassant en un ton le timbre vocal
Et si personne ne
reconnaissait la beauté de cet air, je me garderais mes élucubrations
Commentaires
Enregistrer un commentaire