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Emmanuel Macron dans le viseur de WikiLeaks

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Révélations Julian Assange a indiqué que des e-mails de Hillary Clinton contiendraient du matériel «intéressant» sur le candidat à la présidentielle. Emmanuel Macron, dans un meeting à Lyon le 4 février dernier. Par Christine Talos 06.02.2017   26   9 Signaler une erreur Vous voulez communiquer un renseignement  ou vous avez repéré une  erreur ? Après  François Fillon ,  au tour d' Emmanuel Macron ?  Décidément, cela chauffe dans la course à la présidentielle française, trois mois avant l'élection. En effet, selon plusieurs médias russes citant le journal russe  Izvestia , le chef de file du mouvement «En marche» serait dans le viseur de WikiLeaks. Le site s'apprêterait à révéler des informations compromettantes sur l'ancien ministre de l'économie. «(Julian) Assange va jeter de l’huile sur le feu de la campagne présidentielle en France», a ainsi titré  Izvestia  le 3 février dernier. «Nous possédons des
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Nouveau texte  à découvrir :   "La Genèse de l'Anti" en suivant le lien ci-dessous http://www.mespoemes.net/brouilleur59/ le samedi 04 mars 2017, à 20:46...  (21 lectures) La Genèse de l’Anti  -  lire ce poème ...
L’Elysée aiderait discrètement Macron pour ses levées de fonds à l’étranger Emmanuel Macron à Beyrouth, au Liban, le 24 janvier 2017 (© JOSEPH EID / AFP) A lire sur  lvsl.fr Emmanuel Macron serait-il devenu le nouveau poulain de François Hollande ? C’est en tout cas ce que suggère  le site d’infos  Le vent se lève  qui révèle comment le président de la République a discrètement organisé le déplacement de son ancien ministre de l’Economie au Liban,  “l’occasion pour ce dernier de se donner une stature internationale et d’organiser quelques levées de fonds”,  indique  Le vent se lève . Selon les informations du site, Emmanuel Macron aurait reçu un sérieux coup de pouce de la part de l’Elysée, du ministère des Affaires étrangères, et de l’ambassade de France au Liban au cours de sa visite à Beyrouth les 23 et 24 janvier. Après un coup de fil du ministère français des Affaires étrangères au directeur de l’Ecole supérieure des affaires de Beyrouth jusqu’ici réticent, le candi