Des Parents en colères se liguent contre « les enseignants d’une école »



Rien à l’origine ne pouvait laisser croire à cette déroute relationnelle entre les parents d’élèves et les enseignants de cette école.
Le conflit se déroule dans un établissement dans Hautes-Pyrénées à Lannemezan, plusieurs parents sont contraints de réclamer une entrevue sur une courte période, avec le directeur remplaçant pour des violences scolaires entre enfants, vu que la directrice en poste est en arrêt.
Suivant les dires de ces enseignants, je cite « il ne faut pas prendre les paroles des enfants au premier degré ».alors les parents concernés s’étonnent que l’on puisse prendre des menaces verbales, des bousculades répétitives, des coups portés pour de simples divagations enfantines.
Il semblerait qu’un enfant se rendant à son école avec  « la peur au ventre » soit exagéré, mais les parents ne se contentent pas de cette réponse et commence donc à se concerter et se rendent compte que leur cas n’est pas un cas isolé.
Un des parents décide donc de rencontrer le responsable pour lui expliquer cette angoisse qu’a sa fille de retourner à l’école.Quand le responsable lui demande si il y a un témoin de la scène le parent nomme une copine et la réponse qui lui est faite est « oui mais elle c’est une menteuse ».
Outré par les propos tenus par l’enseignant, le parent décide d’informer  le second parent du contenu de cette conversation. Vu les divers incidents survenus depuis le début de l’année scolaire , déclarés à l’inspection Académique du 65 dans le cas ou une séquelle pourrait en découler ultérieurement, le second parent décide de rencontrer une énième fois le directeur remplaçant pour lui exprimer sa consternation des propos tenus envers son enfant.
Le responsable considère que l’on ne peut tenir compte des petits « bobos » pouvant arriver entre deux enfants, Enfin quand ces « bobos » nécessitent un arrêt, des séances de « kiné » peut-on considérer cela comme banal ?  Si  un enfant se rend à son école en marche arrière par crainte est-ce aussi une raison banale ?
Le parent ne manque pas de préciser que si des faits similaires (ex :blessure) se reproduisaient qu’il n’en resterait pas là, suite aux informations collectées des enseignants de cette école et en sortant cette phrase de son contexte ils ont décidé de déposer  plainte pour  « menace de mort contre ………. » Et cette action à pu être confirmée par l’affichage du compte rendu d’une réunion du corps enseignant sur le tableau accessible  aux parents à l’entrée de cette  l’école. Le fait de vouloir faire respecter ces droits suscite chez certains forcément un acte physique, alors qu’une procédure est aussi une façon de ne pas en rester là.  
Durant cet échange ou chacun expose son avis, des informations comme je cite  « certains élèves ont un comportement agité mais  leurs situations familiales peu en être la cause et la gestion du comportement de certains élèves n’est pas des plus facile, que parfois un élève peut  s’énerver en tapant sur les murs et portes, que certains propos vulgaires envers son instituteur fusent aussi » (la révélation de situation scolaire ou  privée ne devrait-elle pas être sous le couvert de la confidentialité ???).
Après que tous les parents concernés ont été auditionnés par la gendarmerie et qu’a ce jour le qualificatif de « menace de mort et insultes……… » n’est pas fondé, et que soi-disant il n’y a aucunes violences dans cette école faut-il croire  que les plaignants sont des fabulateurs, pourtant les représentants de cette école mettent en place « une zone dites de protection » pour éviter tous problèmes pouvant subvenir. Cela consiste à obliger les élèves malmenés par d’autres à passer toutes leurs récréations aux pieds des instituteurs sans pouvoir bouger, « cette situation est plutôt contradictoire, se sont donc les victimes qui sont punies, il serait donc possible de se poser la question, « cette façon de procéder est-elle faites pour soi-disant protéger les enfants ou espérer mettre mal à l’aise leurs parents en les rendant responsables de leur manque de liberté ?? » il leur est précisé que si les enfants veulent évoluer librement ils doivent demander à leurs parents de faire une demande par écrit pour être  je cite « dé-punis » donc ils ne se retrouvent pas aux pieds de l’instituteur pour leurs sécurités mais pour  quoi. ???
Cela doit être un verbe spécial éducation car je ne trouve pas dans le dictionnaire « dé-puni », alors appliquer une action qui n’existe pas va rendre sa finalité assez difficile.
« Etonnant il ne se passe rien mais des actions sont menées, un manque d’autorité peut-il créer un excès de zèle ?? »
Peu à peu les enfants se mettent à parler, et les parents sont de plus en plus outrés des informations diverses qui en ressortent. Certains propos tenus (sur leurs aspects, origine, ou autres ……) durant la journée scolaire sont très subjectifs, et obligent l’enfant à en parler à leurs parents pour comprendre la signification, qui ne manquera de provoquer de nouvelles colères des parents qui eux comprennent très bien le sous-entendu cette manœuvre est-elle aussi innocente ou purement inconsciente ?  
Par contre l’on peut se rendre compte, que beaucoup d’enfants parlent de la façon  utilisait pour «  je cite, donner des vitamines », aux enfants en tirant les petits cheveux au niveau des tempes, l’on peut penser que ce geste stimule plutôt l’Endorphine que la vitamine.
  En prévention, un groupe de parents c’est constitué pour dire stop à l’aberration, dans une lettre commune accompagnée de divers documents y compris les coordonnées des différentes familles pouvant dans ce cas précis recevoir une réponse à leurs doléances,  a été transmise aux diverses autorités compétentes :
Il semblerait que le même mécontentement existe en maternelle et que des parents auraient mené la même action avec une correspondance communiquée aux autorités compétentes

« Le Rectorat, L’inspection Académique, Le Ministère de l’Education, La Présidence de la République »

« En conclusion peut-on s’attendre à une réponse de la part de ces diverses autorités, ou le mutisme comblera-t-il l’attente de tous ces parents soucieux du contexte dans lequel leurs enfants sont censés évoluer pour la poursuite de leur scolarité. »

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Mao surf biensur mais aussi batterie a ces temps perdus