LES Ducs à Sion, et la Cavale Rit
Le cheval y est, en allure
cavalière sur les talons d’Achille ou d’autrui
Le gris moire par-dessus les étoffes et le métallique
fluide en parodie
Nul ne serait tant plié
pour toutes ces traditions de
principes d’ennui
Prof est si où là
errant en un lieu distant de vos clochers vraiment taris
Le franc mat sonne et
rit, pour ne croiser l’évidence de la croyance
La malle est
diction en transcrit sur feuille en sans
cri du val savoir
Tant l’argot note ces
origines en féodales, or amassées en abondance
La roche elle abrite
les vaillants combattants, et leur ultime pouvoir
Mais la cape est sienne
parade devant un pape autoritaire et Clément
Loin de Philipe le bel en
parure de soi disant, purifié reste sans loi
Distant de ce Charles
magne et attend la cadence du plus
avenant
Du savoir et de
l’apprend tissage et additif de vouloir imposer le choix
Mais pour un verre c’est, le code secret demeure en ma
sève vitale
Les mailles ont en tour de cou, pendent en
« tifs » sans cette allure
Alors mes maux plongent en apesanteur aux sursis d’un vil dédale
Je sus de connaissances englouties en mythe débordant de
parjure
« LES MOTS N’ONT DE
SENS QU’A L’ATTENTION DE L’ORATEUR PERFIDE DE VOULOIR NE DEVOILER QUE LE
SUCCUNT DE LA MAITRISE DE SON APOGEE »
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