L’ANATHEME Aux « Land »
Fier de toi,
tu conduis ton peuple droit à l’agonie
De ton
allure royaliste sombre, à la cour tu seras
Vêtus de ta
robe,est-ce Pierre, ou lente asphyxie
Le ventru de
ton désir, masque le peuple d’en bas
Plus ta
gabelle monte, plus ma gamelle s’en vide
Plus de sel
tu percevras, plus ma joie se meurtrira
Tes festins
te rassurent, sais que ma disette décide
De l’action
à mener demain, contre ta vile perfidie
Les cris de
catacombes, dis moi peux tu entendres
Ignorer ces râles
qui s’éteignent, ne sert à rien
Le jour du
jeu de paume, vit et renait de ces
cendres
Dans ton monde,
la révolte du cœur sera le lendemain
Le peuple
sait que, les pavés de nos rues sont amovibles
Sache que pâques
n’est pas et ne sera jamais en décembre
Et que les
promesses sont comme les miracles, friables
Etat de
« kleptocratie »va avorter, voir à ci méprendre
Haut
« land » au désespoir, la marque du héros entre dans la valse, quand
du flot de la récession saint Bricq, le
taux »Bira » monte et la chevillette tira le petit « BONNET
ROUGE »
Peillon,
Peillon et qu’un champ patriotique abreuve nos sillons !!!!
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