L’Abandon Maternel pour ma Survie
Quand le silence est généré de cette crainte d’impuissance Mon âge juvénile qualifie l’instant, opalisé de son impair Ne voir que ta volonté qui me chéri, pour embellir l’existence Pour ce petit être que je suis, et protéger mon atmosphère D’une délicatesse aux bafouage réitérés, la douleur était Accrochée à ma genèse, et croire une ultime fois à la survie Sans comprendre le pourquoi de cette raison m’égarait Alors les impacts se faisant, meurtrissent ta pieuse effigie Fuir était ta seule liberté, sans t’alourdir de moi en réalité Mais de toutes ces années passées, je n’ai pu t’oublier Mère depuis toujours, mes racines profondes resteront Ce jour pour comprendre que tu n’es qu’un désir allier Je dois transmettre à autrui, ta vision du grand pardon En sachant que je ne suis plus que moi sans air familier Ayant pris ton envol final, le souvenir associe mes acquis A ma force fluide jumelée a cette capacité de faire paraître Promulgué le droit de narrer mon passé furtif ressenti Ton existence réelle si seule par mémoire peut renaître En l’amour d’un fils silencieux par soucis d’un vide repenti « Dans ma vie j’ai fait de mon mieux pour transmettre le savoir et le respect Aux vents et marées de ces périodes, aduler la femme comme la mère sans Limite de tolérance, même si parfois la trahison existe, maintenant Depuis ton départ mon ange gardien à un visage, reste donc on t’aime » |
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